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Terre d’Émeraude, c’est la vie vue de l’autre côté du miroir, la terre d’asile, de repos, de réflexion entre deux vies.
La Mort ? Et après ? A cette question, les auteurs ont apporté une première réponse dans «Les Récits d’un voyageur de l’Astral» (Editions Le Persea). Voici la suite de ce voyage, en couple, selon la technique ancestrale qui a permis à Anne Givaudan et Daniel Meurois de quitter consciemment leur corps et de pénétrer en liberté dans les « territoires d’outre-corps ». Terre d’Emeraude, c’est la vie vue de l’autre côté du miroir. Une vie où tous les paradis artificiels, tous les fantasmes trouvent matière à réalisation. Mais une vie tout aussi irréelle, tout aussi chargée de nos projections et de nos désirs. C’est la terre d’asile, de repos, de réflexion entre deux vies. C’est le lieu privilégié où chacun, selon son niveau de conscience, peut comprendre son karma: cette chaîne sans fin de causes et d’effets qui, de vie en vie, prolonge en nous nos actions passées et entretient l’illusion du « je ». Dans cette Terre d’Émeraude, où la mémoire, la volonté, la raison survivent aux liens corporels et sont destinées à se réincarner, il n’y a pas de juge : chacun est libre de son destin. Avec cet ouvrage, Anne Givaudan et Daniel Meurois se veulent « les témoins et les acteurs d’une réalité que l’on ne songera plus même un jour à mettre en doute ». « … Que l’âme existe après la mort de l’homme et qu’elle conserve une certaine activité et la pensée, cela demande à être confirmé et démontré à fond ». Ainsi s’exprimait Platon quelques siècles avant notre ère… et si l’on veut bien croire les questions qui se posent encore à l’homme de notre époque, le problème n’a toujours pas été résolu. Ou plutôt, si ! Il a toujours été résolu d’emblée et avec des conclusions opposées par ceux qui, d’une part, ont adopté une religion et par ceux qui, d’autres part, ont choisi l’athéisme. Les convitions intimes ne se discutent pas, elles sont ce qu’elles sont et nous devons les respecter. Mais après tout, que savons-nous réellement de précis et de concret sur la question ? En fait, pratiquement rien… ou si peu ! Les postulats personnels et péremptoires prévalent bien souvent sur l’analyse objective… et l’expérimentation. Notre ouvrage ne prétend pas, bien sûr, résoudre le problème à lui seul. Il s’offre seulement à tous, en tant que témoignage. Qui dit témoignage, dit évidemment expérience vécue ; et c’est bien de cela dont il s’agit ici, au sens plein des termes. Pour pouvoir parler de la mort et de ce qui existe au-delà de ses portes, il faut, nous semble-t-il, avoir vécu cette mort en question. Pourrions-nous avec honnêteté parler d’une contrée éloignée sans l’avoir même visitée ? Ce serait se perdre en suppositions et en affirmations indignes de foi. Avons-nous donc été victimes d’un terrible accident ? Avons-nous été plongés dans un profond coma ? Avons-nous enfin été malencontreusement amenés jusqu’au seuil ultime de la vie pour pouvoir parler d’un hypothétique au-delà ? RIEN DE TOUT CELA ! Et c’est ici sans doute que réside un des points capitaux de notre témoignage. « Sipiritisme, alors ! », penserez-vous. NON PLUS ! Et pourtant, il s’agit d’une technique, d’un procédé vieux comme le monde et enseigné régulièrement à quelques privilégiés, quelques initiés dirons-nous. Allons-nous, ici, trahir les secrets de quelque secte mystérieuse, bizarre et malsaine ? Rien de tout cela non plus ! Il n’y a d’ailleurs pas de secret, et encore moins de secte. Il n’y a, répétons-le, qu’une technique parfaitement naturelle, et nous insisterons tout spécialement sur ce mot : naturelle. Aucune drogue, quelle qu’elle soit, n’a jamais été absorbée par les auteurs. Nous croyons cette précision importante car le récit constitué par les chapitres de ce livre est parfois d’une nature telle que certains lecteurs pourraient être amenés à émettre des opinions erronées. Mais, ne restons plus dans le vague. Qu’est donc cette technique et que permet-elle exactement ? Elle n’est autre qu’un procédé basé essentiellement sur des méthodes de respiration et qui permet au conscient d’un individu de quitter à volonté son corps. Où va ce conscient, ce potentiel d’énergie dans lequel continuent de demeurer l’intelligence, la raison, bref, la personnalité toute entière ? Dans un autre univers inaccessible à nos cinq sens. Mais n’en disons pas plus ici. Quoi qu’on en pense, c’est à la raison vraie que nous désirons nous adresser au travers de cet ouvrage, à celle qui accepte – au nom de la curiosité constructive, de l’absence de préjugés et de la volonté de progresser – la remise en cause d’un grand nombre de conceptions. Nous ne désirons pas convaincre mais, nous l’avons dit, simplement témoigner, offrir une sorte de reportage totalement authentique sur un phénomène capable de proposer une autre vision du monde et de la vie. En effet, au-delà du problème de la mort, ce sera celui de la Vie et de quelques-uns de ses mystères qui dominera. Nous citions précédemment Platon qui parlait d’âme. Ce terme nous a gênés en fonction des connotations religieuses qu’il apporte avec lui. En entreprenant ce travail, nous avons désiré nous extraire de tout parti pris religieux ou athée. Si, par conséquent, quelques terme de ce type sont relevés, ce sera en raison de leur côté pratique. Le sujet que nous traitons dans ce livre a déjà été, nous le savons, abordé plus ou moins précisément par certains ésotéristes. Nous ne désirons cependant pas ajouter notre travail au leur, espérant nous adresser non pas à une minorité d’êtres sensibilisés à des faits particuliers, mais à un maximum d’hommes et de femmes qui ne sont pas ligotés par la somme de ce qui est officiellement proclamé et quantifié. Comme toute chose vécue, pourtant, ce livre ne saurait avoir la sécheresse d’un exposé… le coeur saura donc y parler.
Anne Givaudan & Daniel Meurois
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